Mémoires de M. De Bourrienne, Secrétaire intime du premier consul
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Mémoires de M. De Bourrienne ou Louis-Antoine Fauvelet (1769 - 1834) , Secrétaire intime du premier consul
Introduction par Emile Sedeyn
Avec frontispice de Bonaparte, 1er consul par Gérardi
et autographe de Bourrienne
Cartonnage
Mémoires et souvenirs publiés sous la direction de F. Funck Brentano
Nombreuses illustrations in texte
158 p
Edition illustrée
Très bon état
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Mémoires de M. De Bourrienne ou Louis-Antoine Fauvelet (1769 - 1834) , Secrétaire intime du premier consul
Introduction par Emile Sedeyn
Arthemé Fayard éditeur, Paris
Avec frontispice de Bonaparte, 1er consul par Gérardi
et autographe de Bourrienne
Cartonnage
Mémoires et souvenirs publiés sous la direction de F. Funck Brentano
Nombreuses illustrations in texte
158 p
Edition illustrée
Très bon état
Louis-Antoine Fauvelet (1769-1834), dit Bourrienne, et Napoléon Bonaparte n'avaient pas dix ans lorsqu'ils se lièrent d'amitié au collège de Brienne…
Ces mémoires sont parus pour la première fois en 1829, sous le titre: Mémoires de M. de Bourrienne sur Napoléon, le Directoire, le Consulat, l'Empire et la Restauration. Paris, Ladvocat, 10 vol. in-8°.
Ont-ils été écrits entièrement de la main même de Bourrienne ? En raison de multiples inexactitudes grossières, le Pr Jean Tulard pense que non et en attribuerait la paternité à Charles de Villemarest qui fut attaché au cabinet de Talleyrand. (Tulard, Bibliographie critique…108, p. 25, Librairie Droz, 1971). J
ean Tulard préfère souscrire au jugement d'Arthur Chuquet qui écrit: Peut-on croire aux mémoires de Bourrienne ? Non. Mais il faut les lire et en les lisant avec précaution, on y trouvera quelquefois à prendre et à apprendre. » (La jeunesse de Bonaparte, p. 384). Compromis dans une affaire d'attribution de marché (!), Napoléon Bonaparte l'écarta de son cabinet en 1802.
Il n'en poursuivit pas moins ses opérations financières illégales sous le protectorat du prince de Talleyrand. Après une vie faite d'honneurs et de turpitudes, (ministre plénipotentiaire à Hambourg, directeur des Postes, député de l'Yonne), il rendit l'âme le 7 février 1834, à l'asile d'aliénés de Caen, à l'âge de soixante-cinq ans.